Retour à l´école
Le mois de mars c´est comme le mois de septembre chez nous, c´est la rentrée des classes. Bousculade au super marché, car chaque année il faut habiller les enfants. Mais ici, pas question de jeans ou de T-shirt à l´école. L´uniforme pour tous, reste à choisir parmi les mocassins noirs et les chemisiers blancs.
Au collège, aucune excentricité n´est autorisée, et c´est comme ça jusqu´à l´entrée à l´université. On pourrait donc penser que les jeunes chiliens subissent moins qu´en France la pression sociale et le regard des autres.
Malheureusement, ils portent l´uniforme mais l´inégalité est ailleurs !
Au Chili, on distingue les collèges privés des collèges publiques. Alors qu´une majorité des élèves vont aux collèges publiques, les étudiants de l´université sont majoritairement issus de collèges privés. Si j´en crois toutes les discussions que j´ai pu avoir à ce sujet, le système d´enseignement d´état bât de l´aile depuis longtemps.
Comme la société chilienne toute entière, l´école est fortement marquée par les différences entre classes sociales.
C´est un cercle vicieux : les riches payent le collège privé et leurs enfants entrent à l´université pour faire partie d´une classe aisée. Pendant ce temps, les enfants dont les parents n´ont pas les moyens apprennent dans des conditions difficiles. On parle de beaucoup d´indiscipline et de mauvaise qualité de l´enseignement.
Enfin, c´est bien triste tout ça !
En discutant avec plusieurs personnes de sujets et d´autres, j´ai entendu la phrase suivante : “c´est à cause des gens qui ne sont pas cultivés”. Il semble que le système éducatif soit responsable de nombreux problèmes ici.
A quand le changement ? Vite j´espère !
mars 31st, 2007 à 17:53
Amie glandeuse antipodiste,
mon double, mon altergogo,
Tu vois c’est pas le tout d’avoir un beau site et tout et tout, il faut le remplir ! Ca fait plaisir que tu consumes un peu de ton précieux temps pour nous distiller tes meilleures aventures.
Chapeau pour les photos, continue comme ca. On veut juste plus de chiiennes.
Bon c’était juste un petit mot pour utiliser cette fonction commentaire, qui pathétiquement agitait son lien désespérément vierge aux souris des internautes trop pressés.
Que te vaya bien